نویسندگان | Mahdi Afkhami nia ;; Allahshokr Assadollahi ; Roya Khadjir |
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نشریه | Recherches en Langue et Littérature Françaises |
ارائه به نام دانشگاه | Université de Tabriz |
شماره صفحات | 17 |
شماره سریال | 10 |
شماره مجلد | 6 |
نوع مقاله | Full Paper |
تاریخ انتشار | 2013 |
رتبه نشریه | علمی - پژوهشی |
نوع نشریه | چاپی |
کشور محل چاپ | ایران |
چکیده مقاله
Le Nouveau Roman qui est connu d’anti roman a déconstruit les règles du roman traditionnel par ses propres caractéristiques spécifiques et de là, a exigé une nouvelle façon de l’aborder. Cette nouvelle approche d’écriture romanesque s’est introduite dans les autres littératures grâce à la traduction. La littérature persane comme toute autre littérature a consacré une grande place à la traduction des œuvres étrangères. La traduction était une ouverture à la modernité en Iran. Au courant de l’histoire, ce sont plutôt les écrivains français qui étaient préférés par les traducteurs iraniens. Certes, la traduction des romans traditionnels était courante avant la révolution et les traducteurs qui avaient une connaissance de la langue française sont arrivés à léguer de nombreux ouvrages traduits du français. Mais en ce qui concerne la traduction du Nouveau Roman en Iran, c’est après la Révolution qu’elle atteint en vogue. La traduction de ce roman est plutôt problématique, car il prend en considération le langage et l’écriture à la place de l’intrigue, le personnage ou même le message.
Le présent article est une étude sur la traduction des œuvres des Nouveaux Romanciers en Iran et sur les quelques problèmes auxquels ont fait face les traducteurs iraniens dans ce domaine. On va analyser ces problèmes dans trois aspects : problèmes stylistiques, problèmes structuraux, et problème de réception.
tags: Mots-clés : traduction, Nouveau Roman, Iran